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PrÉSentation

  • : La mécanique simpliste sur les flats 2V et 4V BMW
  • : Mécanique boxer Peugeot et BMW, BMW flat-twin, 2V et 4V R1150
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Tout ou presque sur les flats BMW 2V et 4V, quand c'est possible, il suffit d'une panne ou intervention (Ca ne remplace pas une bonne Revue Moto Technique, française ou anglaise, qui reste la référence...).

Si vous avez une panne qui vous cause soucis, tarifs sur demande en fonction de la saison, des stocks et disponibilité... ;-)

Les règles du "Disclaimeur" sont toujours applicables.

Merci de déposer vos remarques (constructives) sur le blog, avec copie si nécessaire sur mon mail perso, ça fait toujours plaisir

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22 décembre 2006 5 22 /12 /décembre /2006 19:32

Circuit de charge BMW 2 soupapes

Contrôle du circuit de charge :

Il FAUT un voltmètre numérique !

Enlever le réservoir et le capot frontal du moteur pour laisser apparaître l'alternateur.

Moteur arrêté, contact coupé, enlever le fil de la borne B+/30 sur le pont de diodes (gros fil rouge ou noir).

Mettre un voltmètre calibre 15 volts continu minimum entre B+/30 et la borne ou D- de l'alternateur (borne située en haut à gauche sur l'alternateur et reliée à la masse).

Démarrer le moteur.

Au ralenti légèrement accéléré (>1000 tours), on doit avoir 13,55 - 14,25 volts.

Noter la valeur obtenue.

Stopper le moteur. Si on ne lit pas ces valeurs ou si elles sont plus basses, contrôler l'alternateur.

Reconnecter le fils B+/30 sur le pont de diodes et connecter le voltmètre sur la borne D+ du pont de diode ou sur D+ du régulateur si c'est difficile d'accès.

Démarrer le moteur et noter la tension obtenue.

Stopper le moteur, répéter le test sur la borne B+/30 toujours par rapport à la masse générale.

Si on a une différence en tension de plus de 0,5 volt, le régulateur est en cause. Si on a une différence entre 1,5 - 4,0 volts, le pont de diodes est en cause.

Test rapide de l'alternateur et du régulateur :

Ce test doit être effectué uniquement si la lampe de charge est allumée en permanence quelque soit le régime moteur.

Enlever le réservoir et le capot d'alternateur.

Moteur éteint, contact coupé, enlever le connecteur à trois broches du régulateur. Prendre un fil équipé de cosses mâles et le brancher entre D+ (fil bleu) et DF (fil bleu/noir) sur le connecteur.

Démarrer le moteur et augmenter la vitesse entre 1000 et 2000 tours/minute.

Si la lampe de charge s'éteint, le régulateur est HS, si elle reste allumée, même faiblement, l'alternateur est en cause.

Toujours vérifier que la lampe de charge est en bon état et que ses contacts sont bons.

Contrôler les valeurs du stator et du rotor en fonction de votre moto.

Circuit de charge BMW 2 soupapes

En fin d'article, les schémas théoriques du circuit de charge, sans les couleurs des fils.

Détection des problèmes d'alternateur.

Lampe de charge à moitié allumée lorsque le moteur tourne

  •  Mauvaise connexion entre les câbles >> Vérifier 
  •  Régulateur défectueux >> A changer 
  •  Balais défectueux >> A changer, contrôler longueur (sup à 8mm) 
  •  Pont de diode défectueux >> remplacer 
  •  Court-circuit avec la masse dans stator >> changer stator 
  •  Court-circuit partiel avec masse dans rotor >> changer rotor

Batterie bouillonne

  •  Mauvais contact entre régulateur et alternateur >> contrôler câblage 
  •  Régulateur HS >> remplacer

Lampe de charge à moitié ou entièrement allumée en charge

  • Régulateur HS >> remplacer 
  • Coupure ou CC dans le câblage >> contrôler 
  • Balais HS >> remplacer (longueur mini de 8mm) 
  • Enroulement rotor HS >> remplacer 
  • Courant d'excitation coupé >> contrôler câblage 
  • Diodes ou support de diodes HS >> vérifier, remplacer.

 

 

 

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22 décembre 2006 5 22 /12 /décembre /2006 18:56

Bon...

Aujourd'hui, on va passer au récepteur d'embrayage hydraulique commun à toutes les 1150, et je crois même identique aux séries "K".

C'est un petit boitier bien caché au cul de la boite, au dessus du catalyseur d'échappement, entouré par les tirants de boite, le renfort d'arrimage de la boucle arrière, la boite à fusibles et la roue...Donc "très" accessible.

L'avantage de l'hydraulique, c'est qu'il y a très peu de pièces en mouvement, la force exercée est très faible, et surtout, il n'y a plus de câble d'embrayage... Donc, comme on est passé des freins à commande par câbles aux freins à commande hydraulique, on a fait pareil pour les embrayages, souvent très "virils" sur une BMW, monodisque à sec oblige.

Les problèmes, ce sont, et d'une, que le seul entretien à faire est une vidange du liquide DOT4 de l'embrayage régulièrement, et que comme il n'y a pas d'entretien à part cette vidange, on l'oublie, le coquin, et l'autre problème, majeur, c'est que si ce récepteur est mal conçu ou très difficile à nettoyer, il va s'user ou s'oxyder sans qu'on le sache, car l'hydraulique lâche souvent sans prévenir. Paf!! la fuite, et bon, on appelle l'ambulance à moto...;-((

Je suis réellement désolé de n'avoir pas pu faire de photos "in situ" pour bien montrer ou il se trouve et comment faire. Pour deux raisons :

  • - je ne savais pas que je pouvais partager mon expérience via un blog
  • - j'avais les mains dans le cambouis et une grosse bagarre intellectuelle avec la RMT (Revue des Motoculteurs-Tracteurs), qui, comme son nom l'indique, cause de la moto comme moi je suis curé...;-)))

Donc, si vous avez à intervenir sur cette pièce, sachez d'abord où vous mettez les pieds, les mains, et prévoyez quelques heures de réflexion intense avant d'attaquer, car la RMT et BMW imposent de lever la boucle arrière en ayant démonté quasi toute la moto et de déposer le bras oscillant (appellé aussi "jambe de suspension")... ce que je n'ai pas fait.

Déjà que sur une RT, il faut virer le carénage...

Mais j'en ai profité, vu que le carénage était enlevé et que j'avais acheté un litre de DOT4, pour purger l'ABS, le circuit de frein AV et AR, et avec l'EVO, c'est pas de la tarte non plus... encore ça de moins pour le concessionnaire, et je suis sûr du travail effectué...

Bon, dans les grandes lignes:

Outillage classique, clés à tube, clés hexa, rallonges de clé à cliquet, clé dynamométrique, rallonges de la bonne dimension pour les clés hexa (important), trousse de bord pour enlever la pince de frein AR (clé Torx),  graisse et liquide DOT dans un bidon neuf, impératif, et une sangle pour arrimer les paquets sur une voiture. Du chiffon, du papier absorbant, du liquide lave glace pour les projections... de DOT4.

Un vieux tapis de sol, histoire de ne pas être sur le béton nu et glacial, j'ai changé ce récepteur cette semaine...

Un récepteur d'embrayage, son joint.

Dans le pire des cas, la durit de commande...

Placer la sangle entre la roue AV et la béquille centrale, tendre fortement pour éviter que la moto ne se débéquille. Les plus heureux ont chez eux une table lève-moto, pas moi... et là, franchement, ce n'est pas utile.

Au choix, enlever l'échappement et le catalyseur ou le laisser. J'ai laissé, mais défait la fixation de pot de façon à ce qu'il bouge, de toute façon, il faut défaire cette fixation pour enlever la roue, alors... Possible qu'en l'enlevant, on a un meilleur accès au récepteur par en dessous.

Défaire les deux flancs de carénage sur les RT et RS.

Défaire la jupette caoutchouc de protection après avoir enlevé la roue AR. Elle vient bien avec l'aide d'un tournevis pour pousser les picots. Déposer l'amortisseur AR (sissi!!).

Là, on VOIT le récepteur!!! Mais pour l'atteindre, il faut du temps et de la patience, et si possible des doigts de fée (ou de gynéco... désolé) et surtout pas de chien, chat, enfant, femme... rayez la mention inutile, dans les parages. Dévisser les trois vis hexa qui le retiennent à la boite, c'est là qu'il faut des clé Allen à embout rond et les rallonges qui vont bien, et le sortir...

M...!!! il ne sort pas, coincé par la durit d'alimentation venant du guidon... damned!

Remettre au moins deux vis, vidanger complètement le circuit d'embrayage, si ce n'est pa déjà fait. Prévoir chiffons, de quoi nettoyer et éponger, ce liquide est très corrosif pour les vernis et peintures. En général, si on est sous la moto à cause de ce problème, c'est qu'il y a une fuite et que le circuit est presque vidé...

D'ailleurs, si ce récepteur lâche, si possible, rentrer sans se servir de la commande d'embrayage pour éviter que du liquide hydraulique ne fuie trop et aille polluer, via la soie de commande, l'embrayage.

C'est là que l'on se rappelle les conseils de l'AB en matière de passer les vitesses (montée ou descente) sans débrayer, au couple nul. Cette panne de récepteur m'est arrivé à Cognac, j'ai pu faire mes 580 kms sans débrayer, de nuit, pour rentrer, et n'ai calé que deux fois. C'est là aussi que l'on se rend compte qu'un démarreur de BMW, ce n'est pas un démarreur de lopette et que l'on peut redémarrer après avoir calé avec le pouce sur le démarreur et les gaz...!

La vidange nécessite un embout de purge que tout bon concessionnaire BMW vous donne gentiment à l'atelier. Ils en ont plein.

Après vidange et bon nettoyage (le DOT est très corrosif pour les peintures...), dévisser la durit qui vient de la commande. Sur la RT, elle vient se brancher à gauche sur le récepteur. Ne pas perdre les joints, même si la RMT et BMW disent de les changer, on ne sait jamais.

Re-défaire les vis de bridage du récepteur et l'enlever du logement en le faisant tourner, pivoter pour l'avoir dans la main. Bien se remémorer comment on l'a enlevé, car on le remettra de la même façon, il n'y en a pas 36, d'ailleurs, ou sinon, vous passez par la case "enlevage et levage de la boucle AR", "déposage du bras oscillant". Ce que j'ai évité.

Préparer le récepteur neuf, poser la durit de purge dessus, bien respecter la position du banjo, serrer à 9Nm, 10 maxi. Le poser sur un coin de table, aller prendre une bière ou un café...

Dévisser après avoir vidangé si nécessaire et bien nettoyé la durit au niveau du banjo, protéger par du chiffon, et faire glisser cette durit dans tout son parcours de façon à avoir du mou et pouvoir connecter le banjo du bas sur le récepteur sans stresser la durit. En bas d'article, une photo qui vaut plus de 80 euros, la tête de la durit d'origine, prête à exploser, complètement corrodée par le sel de l'hiver, que j'ai changé par sécurité. Quand je vous disais...

Auparavant, nettoyer parfaitement le logement du récepteur d'embrayage, à cause du liquide de frein, corrosif, retirer la graisse décomposée qui est dedans. Graisser le nouveau récepteur là ou appuiera la soie d'embrayage (graisse cuivre, comme d'habitude). Le remplir précautionneusement de DOT4 neuf, doucement et lentement, et le remettre en place de la même façon qu'il a été enlevé et connecté la durit de commande, serrée ,à 9Nm, sans oublier le joint papier vert à changer impérativement (et qui a un sens) et sans se tromper d'orientation ni de sens par rapport au renfort de boite de vitesse. Il y a du "tiré-poussé" entre la mise en place du récepteur plein de DOT4 et cette durit, du côté gauche de la moto...

Remettre les vis (3) du récepteur sans serrer, tout contrôler, durit de commande (pas de stress?), durit de purge en place? OK

Serrer à @ 14Nm, oui, je sais, les deux vis du haut, sont particulièrement accessibles, mais bon, soit on dépose la boucle AR, soit on en bave un peu plus, mais on perd moins de temps au global. C'est un choix.

Le banjo au guidon est aussi à 14Nm, je crois. Gaffe à l'orientation et à bien le placer par rapport aux tubes de fourche...

Purger le circuit d'embrayage, gaffe aux projections (mettre une grande pièce de monnaie dans le bocal aide beaucoup à éviter les projections), essuyer, contrôler qu'il n'y a pas de fuites sur tous les raccords.

Remettre bien en place la durit de commande qui passe sous la boite à air, la boite à fusibles, entre la filasse qui va au potentiomètre du capteur de position.

Remettre tout le restant du fourbi dans l'ordre inverse du démontage, l'amortisseur, la jupe de protection, la roue, respecter les couples prescrits pour les divers serrage, particulièrement la roue, en deux passes.

Actionner le frein AR pour remettre en place les garnitures.

Essai à vide en mettant une vitesse, et essai en vrai.

Ci dessous quelques vues du récepteur HS. On voit très bien les gorges provoquées par la jupe du piston du récepteur dans l'alliage. Hélas, défaut de conception? mais le déplacement du piston à plein débrayage fait que le piston, uniquement maintenu par ces jupes métalliques (d'un diamètre un peu plus petit que le joint), bouge axialement et va usiner le cylindre du récepteur. Malheureusement, les gorges provoquées par le désaxement du piston coïncident exactement avec la position du joint à lèvre d'étanchéité.... Après un "certain nombre d'actions", le cylindre est HS, le joint en parfait état ne peut plus faire son travail, que l'on purge ou vidange le circuit ou pas.

Piston du récepteur, plein de graisse décomposée et de liquide DOT4 :

 

 

 

 

 

 

 

 

On voit bien les gorges, rainures, provoquées par le déplacement du piston :

Autre vue agrandie :

 

 

 

 

 

 

 

Là, le piston fautif. Remarquez les jupes en métal (acier), alors que le cylindre est en alliage, d'où l'usure...: Le piston est photographié dans le même sens que le cylindre d'au dessus. le trou en bas reçoit la soie d'embrayage, le haut de l'image est le fond du piston. Pour précontraindre ce piston, il y a un simple gros ressort qui pousse le piston, mais ne l'empèche pas de bouger dans l'effort.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Là, horreur, la durit au niveau du récepteur. Le banjo est complètement corrodé par le sel, les acides et hydrocarbures et autres produits de la route. Echange d'urgence, il m'a lâché sur une seule torsion légère...

 

 

 

 

 

 

 

Maintenant, après avoir lu l'article, je comprends que vous hésitiez à le faire vous-même, ça paraît complexe et long. Mais bon, demandez à votre concessionnaire préféré combien il va vous demander en MO, rajoutez environ 200 euros de pièces (récepteur, joint papier, durit dans mon cas) à prix d'ami, et vous comprendrez que parfois, la commande par câble est plus économique que l'hydraulique, même si elle est plus virile...

A+, Non Boël

L'AB

ab_m91@hotmail.com

 

 

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21 décembre 2006 4 21 /12 /décembre /2006 20:18

Note aux lecteurs :

Suite à une bétise de ma part (néophite en blog...), les photos ne sont pas disponibles.

Lors de la synchro de printemps, je m'efforcerai de démonter le démarreur et de faire les photos manquantes.

Merci.

Aujourd'hui, nous allons parler de la réfection du démarreur de la BMW R1150xx, démarreur de marque VALEO.

Ce démarreur, à partir d'un certain âge ou usage commence à faire du bruit, couine, se bloque sur le volant moteur.

Pour y remédier, le démonter, après avoir débranché le "+" batterie sur la batterie, car les cosses du démarreur sont reliées en direct sur la batterie, le moindre court-circuit avec une clé sur le chassis peut faire très mal. Utiliser une clé hexa (BTR) de 8mm.

Prévoir de débrancher l'alimentation du démarreur et défaire la cosse noire branchée sur le solénoïde.

Le démarreur a un pion de centrage, le faire bouger pour le décoller de ce pion, si nécessaire, le tapoter avec un maillet.

Voici un démarreur... ;-)

Outillage nécessaire :

Clé à douille de 13 et de 8 mm, embout Torx T20 et T25

Clé BTR (hexa) de 6.

Pinceau de mécanicien à poils nylon, acétone, récipient

Graisse au cuivre (supporte des températures et pressions extrèmes)

>>>>>>>>>>>>>>>>

Démonter les vis Torx T20 et T25 sur le nez du démarreur,

Déposer le nez, l'ensemble moteur et lanceur apparait :

Enlever les deux dernières vis Torx T20 pour dissocier le solénoïde du moteur, avant, défaire l'écrou de 13 qui alimente le moteur du démarreur.

On attaque le vif du sujet...;-)

Il va falloir démonter le lanceur, en haut et le nettoyer parfaitement, désassembler le solénoïde pour vérifier qu'il n'a pas de poussière, le nettoyer, nettoyer le ressort de pression.

Après nettoyage et graissage du lanceur, il faudra remonter, sans oublier de bien laisser sécher pour éviter que la graisse ne se décompose.

Déposer l'axe du levier plastique pour le nettoyage.

 

Le noyau du solénoïde se démonte par basculement sur son axe de poussée.

Le nettoyer parfaitement, faire pareil pour le corps du solénoïde et le ressort.

Ensuite, nettoyer parfaitement à l'acétone le lanceur et son hélicoïl :

ATTENTION... Ne PAS nettoyer le train épicycloïdal qui est dans le boitier noir. C'est lui qui démultiplie l'effort fourni par le moteur, mais pour le nettoyer parfaitement, il faudrait le démonter, or, comme il est serti... En général, il ne bronche pas.

Deux vues différentes pour montrer qu'il faut le faire coulisser pour bien le nettoyer.

Bon... la mise en page, c'est pas ça, désolé!

 

 

 

Après un bon séchage, vérifier qu'il ne sort plus de graisse et d'acétone, sécher à la chaleur si possible, graisser l'hélicoil UNIQUEMENT

 

Faire bouger le lanceur pour uniformiser la graisse au cuivre. NE PAS graisser l'autre côté coulissant.

Nettoyer et graisser l'engrenage du moteur

Avant,

Après...

 

 

 

 

 

Vérifier l'état du collecteur et des charbons, en général, ils sont OK, de toute façon, pas réparables ni échangeable, alors...

Les charbons sont placés en poussant, pas de problème pour les enlever.

Après, remonter gentiment en sens inverse du démontage, sans oublier l'axe du basculeur, vérifier que le noyau coulisse bien sans frotter dans le solenoïde. Mettre un peu de graisse sur le bout de l'axe qui va entrer dans le palier, en mettre sur le palier lui-même. Resserrer les vis Torx en croix,  du classique, quoi. Faire attention à ne pas trop serrer les vis Torx T20...

Remonter le démarreur en place, vérifier les couples de serrage des deux vis hexa de 8, remettre les connections, avec un peu de graisse, rebrancher la batterie.

Mettre le contact et donner deux coups de gaz dans démarrer, à fond, pour initialiser le Motronic.

Ca devrait être reparti pour 80 000 bornes...

L'AB

 

grigny.phil@free.fr

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